JESUS RAFAEL SOTO, Les Bâtons, 1965

Comme issu des limites de l’abstraction radicale, Soto réduit tout objet à l’anonymat en lui ajoutant une quantité infinie d’éléments perturbateurs. Les Bâtons sont des tiges de métal suspendues à de fins fils qui bougent sous l’effet des courants d’air. L’interaction d’un fond rayé et des mouvements du spectateur fait naître une impressionnante illusion d’optique. L’« op art » explore les liens entre technologie et vibrations, créateurs de désorientation.

– Pour plus d’œuvres de cet artiste, contactez la galerie. –

Retour à l’aperçu.