Maria Serebriakova, plaster and wood, 1993
L’artiste russe Maria Serebriakova aborde son sentiment de solitude et de désespoir d’une manière philosophique. Elle symbolise l’identité perdue de l’humanité en utilisant des objets simples du quotidien. Elle entremêle réalité et fiction en piochant les choses dans leur réalité silencieuse. Serebriakova fait référence à la quête d’elle-même. Il y a l’enquête renouvelée sur la nouvelle signification des personnes et des choses, liée à de nombreux objets possibles.
Cette œuvre de 1993 représente l’équilibre dans le dialogue. Elle symbolise ici le pouvoir communicatif de l’art. Il franchit toutes les barrières linguistiques et est universellement chargé. Une conversation philosophique à travers notre planète est œcuménique et offre un équilibre global grâce à une égalité de traitement.
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